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Par jyvago le 5 Septembre 2013 à 09:32
Vendredi 6 septembre 2013
Cette fois-ci, ce ne sera pas un col dont je ferai l'ascension (bien que) mais le Pla d'Adet, la station de Ski de Saint-Lary 1700, car mon intention était de monter au col du Portet sur le même itinéraire, mais j'ai dû renoncer après quelques hectomètres de montée, car il n'y avait plus de revêtement.
Comme je le disais, c'est la même route qui grimpe au Pla d'Adet (stations de sports d'hiver de Saint-Lary 1700 et 2000) et qui continue ensuite en direction du col du Portet qui se trouve être un col en cul de sac.
Bien que n'étant pas un col, la montée du pla d'Adet n'est pas un cadeau, les pourcentages y sont très importants avec des passages à plus de 13 %, ce qui pour moi avec mon assistance électrique n'est pas un problème, en vélo trad' c'est une autre musique !
Le Pla d'Adet c'est ça :
Altitude : 1680 m
Départ : Vignec
Longueur : 10,7 km
Dénivellation : 861 m
% moyen : 8 %
% maxi : 13,5 %
Souvenirs souvenirs !
La difficulté du Plat d'Adet commence à cette stèle
Les photos ci-dessous ont été prises à la volée en roulant dans la montée
Saint-Lary dans la vallée
La station Saint-Lary 1700 une tache d'huile dans le paysage !!
Ma monture sur le toit du (monde) !
La montée vers Saint-Lary 2000
Alors le col du Portet, c'était mon objectif, mais j'ai dû y renoncer après quelques hectomètres, car il n'y avait plus de revêtement et rouler sur la caillasse ne m'enchantait guère, cependant la montée à vélo reste possible à condition de ne pas être équipé en pneus fins.
Le Portet c'est par là !
C'est ce que l'on appelle des VTT (vaches tous terrains)
La montée du Pla d'Adet ne me posa pas de difficultés particulières malgré les pourcentages élevés, je suis totalement satisfait de mon assistance elle est parfaite pour la montée, donc de ce côté RAS.
La descente se déroulait également dans de bonnes conditions, je maîtrisais assez bien mes problèmes de freinage, mon frein de parking m'étant d'un grand secours. J'avais pris un peu d'assurance et dès qu'il y avait une ligne droite je laissais un peu filer, lorsque tout à coup, alors que j'approchais de la plaque Raymond Poulidor, j'ai entendu un pchitt..... !! et je me suis fait embarquer sur la gauche, j'ai eu le réflexe de lâcher mon frein arrière et j'ai réussi à me stopper en utilisant mon seul frein avant.
Immédiatement j'ai pensé à un éclatement dû à une surchauffe de la jante arrière provoquée par le frein à patins à l'arrière, pas du tout, l'éclatement (uniquement la chambre à air) est dû à une négligence de ma part. Il faut remonter à 10000 km en arrière lorsque j'ai reçu ma roue moteur, la jante n'était pas équipée d'un fond de jante et n'en ayant pas sous la main, j'ai utilisé (provisoirement) un vulgaire adhésif et c'est lui qui à la longue à fondu, du coup la chambre se retrouva en contact direct avec le métal !! Bon cette mésaventure se termine bien, j'étais tout de même dans une descente à 10 % et à 40 km/h quand c'est arrivé et en ligne droite, si la chose était arrivée dans un freinage avant un virage je n'ose imaginer les conséquences !!
Pour visionner la vidéo plein écran cliquez ici
Distance parcourue : 40 km
Dénivellation : 1179 m
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